Forêt Cinéraire

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une expertise unique

TAOMA accompagne les communes dans la mise en oeuvre des forêts cinéraires suivant un cahier des charges.

 » Il est hors de vue, mais je colle mon oreille contre un arbre dans la forêt, et cela m’apporte le son, et j’entends ainsi bondir l’orignal et je le suis… je le suis toujours, écoutant de temps en temps, l’oreille contre un arbre « . Bedagi (grand tonnerre), Wabanaki, vers 1907

notre démarche

Une expertise unique au service des collectivités

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Une alternative aux sites cinéraires traditionnels.

Des matériaux respectueux de l'environnement et de l'Homme.

Un milieu forestier consacré au développement d’obsèques durables.

Des milieux naturels préservés.

Des attentes réglementaires respectées.

Un nouveau type d'aménité.

notre objectif

A mi chemin entre le funéraire et la préservation des milieux naturels.

Un concept inédit en France. Un projet pilote à Arbas dans les Pyrénées.

Il s’agit d’une forêt consacrée au développement d’obsèques durables.

La forêt est sacralisée et devient un lieu d’inhumation d’urnes cinéraires biodégradables.

Un site qui répond aux attentes de la réglementation.

La forêt CINERAIRE permet la préservation du milieu forestier et notamment des forêts matures tout en proposant un nouveau type d’aménité forestière pour la commune.

Pourquoi des forets cinéraires ?

Une dimension écologique

Aujourd’hui prospère un marché juteux de la mort auquel se rajoute la facture écologique des pratiques funéraires – des usages aux impacts toujours plus nombreux sur l’environnement, des soins de présentation jusqu’aux traitements de fin de concession – et des forêts françaises trop souvent exploitées pour leur seule production de bois.  Le cycle naturel de leur développement est stoppé avant qu’elles ne deviennent des forêts anciennes, nous privant ainsi d’une part importante de biodiversité.

Une dimension spirituelle

Pour nous, cela a du sens que de relier la dimension spirituelle de la forêt. L’arbre est par essence celui qui relie la terre au ciel. On rencontre des arbres sacrés, des rites et des symboles végétaux dans les traditions populaires du monde entier, des époques archaïques jusqu’à nos jours. L’arbre est toujours associé à ce qui est vivant et créateur. Quel plus bel endroit pour célébrer les défunts.

Une dimension économique

L’augmentation des frais relatifs aux formalités décès, des concessions, des pratiques de conservation des corps, la diminution de la durée des concessions et le manque croissant de place dans les cimetières font qu’honorer le défunt et lui rendre un dernier hommage est de plus en plus coûteux en France. Les considérations économiques et spatiales jouent un rôle déterminant dans le choix du rituel et de la disposition d’un corps et font apparaître des inégalités.
Les revenus générés profitent aux acteurs locaux et aux territoires et viennent garantir la non exploitation sylvicole.